3 juillet 2013. L’aube s’étire sur Le Caire, déchirée par les klaxons, la rumeur inquiète des marchés et l’attente suspendue qui fige la ville sur les deux rives du Nil. Au cœur de la capitale, la place Tahrir bruisse d’une foule dense, brassant drapeaux, cris et espoirs contradictoires.
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